Plusieurs martyrs et blessés lors de frappes israéliennes sur la bande de Gaza
Plusieurs citoyens sont tombés en martyr, et d’autres blessés samedi soir, après que les forces d’occupation ont bombardé des zones de la ville de Gaza et le camp de réfugiés de Nuseirat, dans le centre de la bande de Gaza.
Des sources médicales ont indiqué que huit citoyens, dont six enfants, sont tombés en martyr et plusieurs autres blessés, après qu’un drone israélien a bombardé un groupe de citoyens dans le camp de Nuseirat 2, dans le centre de la bande de Gaza.
Des civils sont également tombés en martyr et d’autres blessés, lorsque les avions israéliens ont ciblé une usine de dessalement d’eau près de la Banque de Palestine, dans le quartier du Soldat inconnu du quartier de Rimal, à l’ouest de la ville de Gaza.
Les forces d’occupation israéliennes ont également détruit des immeubles résidentiels à proximité des quartiers d’al-Katiba et d’al-Mahta, au nord de Khan Younes, au sud de la bande de Gaza.
Des sources médicales ont annoncé la mort de 56 citoyens suite à l’agression continue des forces d’occupation sur la bande de Gaza depuis l’aube.
Le nombre de victimes de l’agression israélienne en cours contre la bande de Gaza s’est alourdi à 57 338 martyrs et 135 957 blessés depuis le 7 octobre 2023, selon des sources médicales.
Ces sources ont précisé, ce samedi, que depuis la reprise de l’offensive le 18 mars dernier – après une trêve temporaire – 6 780 Palestiniens ont été tués et 23 916 blessés.
Concernant les attaques ciblant les files d’attente et les rassemblements autour des centres d’aide humanitaire, les hôpitaux de Gaza ont reçu, au cours des dernières 24 heures, les corps de 23 martyrs et plus de 54 blessés, ce qui porte le bilan total des victimes tombées en quête de nourriture à 743 martyrs et 4 891 blessés.
Le rapport statistique quotidien fait également état de 70 nouveaux martyrs et 332 blessés admis dans les hôpitaux de Gaza au cours des dernières 24 heures.
Les autorités sanitaires ont ajouté que de nombreuses victimes restent sous les décombres ou gisent dans les rues, les équipes de secours et de la Défense civile étant dans l’impossibilité d’y accéder en raison de l’intensité des bombardements.
