Le bilan de la guerre israélienne contre la bande de Gaza dépasse les 58 700

Au moins 58 765 Palestiniens ont été tués dans la guerre menée par Israël dans la bande de Gaza depuis octobre 2023, a annoncé samedi le ministère de la Santé.

Ce soir, sept civils palestiniens sont tombés en martyr dans de bombardements israéliens sur différentes régions dans la bande de Gaza.

Ils ont mis en lumière que quatre citoyens ont été martyrisés et 10 autres ont été blessés, dans de raids violents israéliens sur de groupes de citoyens au sud de la bande de Gaza et ils ont été transportés a l’hôpital de Jérusalem, appartenant à l’association du Croissant-Rouge.

De plus, un citoyen avait été tué par des tirs de l’armée d’occupation dans la ville de Bani Sahil, à l’est de Khan Younes, dans le sud de la bande, tandis que deux citoyens ont été tués et d’autres blessés par des bombardements de l’occupation sur le « Bloc 6 » du camp de Al-Bareij, au centre de la bande.

Trois civils palestiniens sont tombés en martyr et d’autres ont été blessés, dans de bombardements israéliens ciblant des groupes de civils, dans le quartier de Zeytoun à l’est de la ville de Gaza, selon des sources médicales palestiniennes.

Dans un communiqué, le ministère de la santé précise que 98 corps ont été transportés dans les hôpitaux au cours des dernières 48 heures, tandis que 511 personnes ont été blessées, portant le total des blessés à 140 485 depuis le début de l’offensive israélienne.

De nombreuses victimes restent encore sous les décombres ou sur les routes, les équipes de secours n’étant pas en mesure de les atteindre, ajoute le ministère.

Par ailleurs, 14 Palestiniens ont été tués et 94 blessés ces deux derniers jours alors qu’ils tentaient de récupérer de l’aide humanitaire. Depuis le 27 mai, le nombre total de Palestiniens tués en cherchant de l’aide s’élève à 891, et plus de 5 754 ont été blessés.

L’armée israélienne a repris ses attaques contre Gaza le 18 mars, rompant ainsi la trêve et l’accord d’échange de prisonniers conclu en janvier. Toutefois, des négociations pour un nouvel accord sont en cours à Doha, capitale du Qatar.



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