Morts et blessés dans de frappes israéliennes sur plusieurs zones de la bande de Gaza

Au moins 19 Palestiniens ont été tués et d’autres blessés mercredi matin dans une série de frappes aériennes israéliennes sur plusieurs zones de la bande de Gaza.

Une source a souligné qu’un pêcheur a été martyrisé après avoir été abattu par des canonnières israéliennes sur la plage de la ville de Gaza, tandis qu’un citoyen a été martyrisé dans la ville de Bani Suhaila, à l’est de Khan Yunis, après que l’occupation israélienne a bombardé une maison abritant des personnes déplacées.

Un citoyen handicapé a également été tué lorsque les forces d’occupation ont bombardé une maison dans le quartier de Zeitoun à Gaza, tandis qu’un citoyen est décédé des suites de ses blessures dans le camp de Bureij.

Au moins 51 Palestiniens ont été tués dans des frappes aériennes israéliennes à Gaza au cours des dernières 24 heures, portant à 52 365 morts le bilan des victimes de la guerre génocidaire menée par Israël depuis octobre 2023, a déclaré le ministère de la Santé, lundi.

Selon un communiqué du ministère, 113 personnes souffrant de blessures diverses ont également été transférées dans des hôpitaux, ce qui porte à 117 905 le nombre de blessés par les attaques israéliennes.

De nombreuses victimes sont toujours coincées sous les décombres et jonchent encore les routes, les secouristes étant dans l’incapacité de les atteindre, a ajouté le ministère.

L’armée israélienne a repris son offensive meurtrière sur la Bande de Gaza le 18 mars, tuant depuis lors 2 273 personnes et en blessant plus de 5 800 autres, en dépit d’un accord de cessez-le-feu et d’échange de prisonniers entré en vigueur en janvier.

En novembre dernier, la Cour pénale internationale (CPI) a délivré des mandats d’arrêt à l’encontre du Premier ministre israélien Benyamin Netanyahu et de son ancien ministre de la défense, Yoav Gallant, pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité perpétrés dans la Bande de Gaza.

Israël est également poursuivi pour crime de génocide devant la Cour internationale de justice (CIJ) en raison de la guerre qu’il mène contre l’enclave.



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